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les14 stations du chemin de croix en image About; FAQ; Contacts; Location
Les 14 stations du Chemin de Croix » dans les 24 Heures de la Passion de notre Seigneur JĂ©sus-Christ de Luisa Piccarreta La petite fille de la VolontĂ© Divine Ă ma MĂšre, en regardant le visage de ton JĂ©sus si affligĂ© et si triste, se rĂ©veille en toi la vue dĂ©chirante des souffrances que bientĂŽt il devra souffrir. Tu vois dâavance son visage couvert de crachats, sa tĂȘte transpercĂ©e par les Ă©pines, ses yeux bandĂ©s, son corps torturĂ© par les coups de fouets, ses mains et ses pieds percĂ©s par les clous ; et tu le bĂ©nis. Ă lâendroit oĂč il est sur le point dâaller, tu lâaccompagnes avec tes bĂ©nĂ©dictions. Ă tes cĂŽtĂ©s, je lâaccompagne moi aussi. Quand JĂ©sus sera frappĂ© par les fouets, transpercĂ© par les clous, giflĂ©, couronnĂ© dâĂ©pines, partout il trouvera en mĂȘme temps que les tiens, mes je te bĂ©nis ». Ă JĂ©sus, ĂŽ Marie, comme je compatis avec vous deux ! Immense est votre souffrance en ces derniers moments. Le CĆur de lâun semble dĂ©chirer le CĆur de lâautre. Tendre MĂšre, attache mon cĆur Ă celui de JĂ©sus, afin que mon cĆur prenne part Ă tes souffrances et aux siennes. Avec toi, douce MĂšre, je veux suivre pas Ă pas lâadorable JĂ©sus, avec lâintention de lui donner du rĂ©confort, du soulagement, de lâamour et de la rĂ©paration au nom de tous. Mon JĂ©sus affligĂ©, je tâoffre ces stations du chemin de Croix -pour la paix dans nos familles, dans notre pays et dans le monde -pour notre sanctification, pour aider les Ăąmes du purgatoire -pour que ton RĂšgne vienne bientĂŽt -pour que ta VolontĂ© soit faite sur la terre comme au Ciel. PremiĂšre station JĂ©sus est condamnĂ© Ă mort Emu par la douceur de ta voix, Pilate dĂ©cide, le cĆur tourmentĂ©, de te montrer au peuple Ă partir de sa loge, espĂ©rant que les Juifs seraient pris de compassion en te voyant si dĂ©figurĂ©, et quâil pourrait ainsi te libĂ©rer. Pilate impose le silence pour ramener tout le monde Ă lâattention et se faire entendre de tous. Il prend avec dĂ©goĂ»t les deux lambeaux de la pourpre qui te couvre la poitrine et les Ă©paules, la soulĂšve, afin que tous voient le piteux Ă©tat dans lequel tu te trouves. Ă voix haute il dit Ecce Homo! Regardez-le, il nâa plus lâapparence dâun homme. Observez ses plaies, on ne le reconnaĂźt plus. Sâil a fait du mal, il a dĂ©jĂ souffert assez, mĂȘme trop. Moi, je regrette de lâavoir fait tant souffrir, laissons-le donc libre ! » Ă ces paroles, il se fait un silence profond au Ciel, sur terre et en enfer ! Puis, comme dâune seule voix, jâentends le cri de tous Crucifie-le, crucifie-le ! Nous le voulons mort ! » Aux cris de la foule, Pilate est stupĂ©fait. Il se hĂąte de dire Comment, dois-je crucifier votre Roi ? Moi, je ne trouve pas de faute en lui pour le condamner. » Et les Juifs crient en assourdissant lâair Nous nâavons pas dâautre roi que CĂ©sar. Si tu ne le condamnes pas, tu nâes pas lâami de CĂ©sar. Crucifie-le ! Crucifie-le ! » Pilate, ne sachant que faire et craignant dâĂȘtre dĂ©posĂ©, se fait apporter une bassine dâeau et, se lavant les mains, dit Oh, je suis innocent du sang de ce juste. » Mais les Juifs ajoutent Que son sang retombe sur nous et sur nos enfants ! » Et, te voyant condamnĂ©, ils font la fĂȘte, battent des mains, sifflent, hurlent. Et toi, ĂŽ JĂ©sus, tu rĂ©pares pour ceux qui se trouvent dans les hauts rangs de la sociĂ©tĂ© et qui, mus par une vaine crainte et pour ne pas perdre leur poste, dĂ©sobĂ©issent aux lois les plus sacrĂ©es, ne se prĂ©occupant pas de la ruine de peuples entiers, favorisant les impies et condamnant les innocents. Tu rĂ©pares aussi pour ceux qui, aprĂšs leur faute, incitent diaboliquement la colĂšre divine Ă les punir. Et tandis que tu rĂ©pares tout cela, ton CĆur saigne Ă cause de la souffrance de voir ton peuple choisi marquĂ© de la malĂ©diction du Ciel quâil vient lui-mĂȘme dâappeler, la scellant de ton sang quâils ont appelĂ© sur leur propre tĂȘte ! Mon JĂ©sus crucifiĂ©, au nom de toutes les gĂ©nĂ©rations, passĂ©es, prĂ©sentes et futures, ensemble avec ta chĂšre MĂšre et tous les Anges, je me prosterne devant toi et je dis âO Christ, nous tâadorons et nous te bĂ©nissons, parce que tu as rachetĂ© le monde par ta sainte Croix. â DeuxiĂšme station JĂ©sus est chargĂ© de sa Croix Tu laisses placer la Croix sur tes Ă©paules infiniment saintes. Ah ! mon JĂ©sus, ta Croix est trop lĂ©gĂšre pour ton Amour. Mais Ă son poids sâajoute celui de nos fautes, aussi lourd que toute la terre. Ă mon Bien, tu te sens Ă©crasĂ© sous le poids de tant de fautes ; Ton Ăąme frĂ©mit dâhorreur Ă leur vue et elle ressent la peine de chacune. Ta saintetĂ© est secouĂ©e devant tant de laideur et, par consĂ©quent, en recevant la Croix sur tes Ă©paules, tu vacilles, le souffle te manque, et de ton humanitĂ© infiniment sainte coule une sueur mortelle. Mon Amour, mon Ăąme ne supporte pas de te laisser seul. Je veux partager avec toi le poids de ta Croix et, pour soulever le poids de nos fautes, je me serre contre tes pieds ; je veux te donner au nom de toutes les crĂ©atures de lâamour pour quiconque ne tâaime pas, des louanges pour quiconque te mĂ©prise, des bĂ©nĂ©dictions, des remerciements, de lâobĂ©issance pour tous. Mon JĂ©sus, pour toutes les offenses que tu recevras, je veux tâoffrir ma personne pour rĂ©parer. Je veux faire les actes opposĂ©s aux offenses que les crĂ©atures te font, et te consoler par mes baisers et mes actes dâamour continuels. Mais je sais fort bien que je suis trop misĂ©rable et que jâai besoin de toi pour pouvoir rĂ©parer vraiment. Par consĂ©quent, je mâunis Ă ton humanitĂ© infiniment sainte. Jâunis mes pensĂ©es aux tiennes pour rĂ©parer mes pensĂ©es mauvaises et celles de tous, jâunis mes yeux aux tiens pour rĂ©parer les regards mauvais, ma bouche Ă la tienne pour rĂ©parer les blasphĂšmes et les conversations mauvaises, mon cĆur au tien pour rĂ©parer les tendances, les affections et les dĂ©sirs mauvais. En un mot, je veux rĂ©parer tout ce que rĂ©pare ton humanitĂ© infiniment sainte en mâunissant Ă ton Amour infini et au bien immense que tu fais Ă tous. Mon JĂ©sus crucifiĂ©, au nom de toutes les gĂ©nĂ©rations, passĂ©es, prĂ©sentes et futures, ensemble avec ta chĂšre MĂšre et tous les Anges, je me prosterne devant toi et je dis âO Christ, nous tâadorons et nous te bĂ©nissons, parce que tu as rachetĂ© le monde par ta sainte Croix. â TroisiĂšme station JĂ©sus tombe pour la premiĂšre fois Mon JĂ©sus infiniment patient, tu fais tes premiers pas sous le poids immense de la Croix, et moi jâunis mes pas aux tiens. Et quand, faible, saignĂ© Ă blanc et vacillant, tu seras sur le point de tomber, je serai Ă ton cĂŽtĂ© pour te soutenir ; je te prĂȘterai mes Ă©paules pour partager avec toi le poids de la Croix. Ne me dĂ©daigne pas, mais accepte-moi comme ta fidĂšle compagne. JĂ©sus, je vois que tu rĂ©pares pour tous ceux qui ne portent pas avec rĂ©signation leur croix, qui jurent, sâirritent, se suicident ou font des meurtres. Tu implores pour tous la rĂ©signation Ă leur propre croix. Mais tu te sens Ă©crasĂ© sous ta Croix. Tu en es Ă tes premiers pas avec elle, et dĂ©jĂ tu tombes sous son poids. Et, en tombant, tu heurtes des pierres, les Ă©pines sâenfoncent davantage dans ta tĂȘte, et toutes tes plaies sâaggravent et laissent couler du sang neuf. Comme tu nâas pas la force de te relever, tes ennemis, irritĂ©s, cherchent Ă te remettre sur pied par des coups de pied et des bousculades. Mon amour tombĂ© sous la Croix, laisse-moi tâaider Ă te remettre sur pied. Je tâembrasse, jâessuie ton sang et je veux rĂ©parer pour ceux qui pĂšchent par ignorance ou fragilitĂ©. Je te prie dâaider ces Ăąmes. Mon JĂ©sus crucifiĂ©, au nom de toutes les gĂ©nĂ©rations, passĂ©es, prĂ©sentes et futures, ensemble avec ta chĂšre MĂšre et tous les Anges, je me prosterne devant toi et je dis âO Christ, nous tâadorons et nous te bĂ©nissons, parce que tu as rachetĂ© le monde par ta sainte Croix. â QuatriĂšme station JĂ©sus rencontre sa trĂšs sainte MĂšre Ta Maman qui, comme une colombe plaintive, cherche Ă te rencontrer. Elle veut te dire une derniĂšre parole et recevoir un dernier regard de toi. Tu la vois qui, pĂ©nĂ©trant dans la foule, veut Ă tout prix te voir, tâembrasser et te faire un dernier adieu. Et tu ressens son CĆur lacĂ©rĂ© tu es affligĂ© de voir sa pĂąleur mortelle et toutes tes peines qui, en vertu de son Amour pour toi, sont reproduites en elle. Si elle vit, câest un pur miracle de ton omnipotence. Tu fais des pas pour la rencontrer, mais câest Ă grand peine que vous pouvez Ă©changer un regard ! Quels transpercements dans vos deux CĆurs ! Les soldats sâen aperçoivent et, par des bousculades, ils empĂȘchent que la Maman et le Fils communiquent ensemble. Elles sont telles vos souffrances rĂ©ciproques que, pĂ©trifiĂ©e de douleur, ta Maman est sur le point de succomber. Le fidĂšle Jean et les saintes femmes la soutiennent, tandis que toi, de nouveau, tu tombes sous le poids de la Croix. Alors, ce que ta Maman ne peut faire au moyen de son corps parce quâon lâen empĂȘche, elle le fait au moyen de son Ăąme elle entre en toi, fait sien le vouloir de lâEternel et, sâassociant Ă toutes tes peines, elle te fait office de Maman, elle te donne des baisers, te refait, te soulage, et verse en toutes tes plaies le baume de son Amour endolori! Mon JĂ©sus accablĂ© de douleurs, je mâunis Ă ta Maman affligĂ©e. Je veux faire miennes toutes tes peines et, dans chaque goutte de ton sang et dans chacune de tes plaies, je veux te servir de maman. Avec elle, et avec toi-mĂȘme, je veux rĂ©parer pour ceux qui font des rencontres dangereuses, qui sâexposent aux occasions de pĂ©chĂ©. Mon JĂ©sus crucifiĂ©, au nom de toutes les gĂ©nĂ©rations, passĂ©es, prĂ©sentes et futures, ensemble avec ta chĂšre MĂšre et tous les Anges, je me prosterne devant toi et je dis âO Christ, nous tâadorons et nous te bĂ©nissons, parce que tu as rachetĂ© le monde par ta sainte Croix. â CinquiĂšme station Simon de CyrĂšne aide JĂ©sus Ă porter la Croix De crainte que tu ne meures sous la Croix, tes ennemis obligent le CyrĂ©nĂ©en Ă tâaider Ă la porter. Il le fait de mauvais grĂ©, en maugrĂ©ant. Ce nâest pas par amour quâil tâaide, mais parce quâon lây oblige. Dans ton CĆur se rĂ©percutent toutes les lamentations de ceux qui manquent de rĂ©signation dans la souffrance, et tu rĂ©pares leurs rĂ©voltes, leurs colĂšres, et leur mĂ©pris de la souffrance. Mais tu es affligĂ© bien davantage quand tu vois que tes Ăąmes consacrĂ©es te fuient, celles que tu appelles comme compagnes et aides dans ta Souffrance. Si tu les serres sur toi avec douleur, elles se dĂ©gagent pour aller Ă la recherche des plaisirs. Et ainsi elles te laissent seul Ă souffrir ! Mon JĂ©sus, tandis que je rĂ©pare avec toi, je te prie de me serrer dans tes bras. Fais-le si fortement quâil nây ait aucune peine que tu souffres et Ă laquelle je ne prenne part, afin que je sois transformĂ©e par ces peines et que je te dĂ©dommage pour lâabandon des crĂ©atures. Mon JĂ©sus crucifiĂ©, au nom de toutes les gĂ©nĂ©rations, passĂ©es, prĂ©sentes et futures, ensemble avec ta chĂšre MĂšre et tous les Anges, je me prosterne devant toi et je dis âO Christ, nous tâadorons et nous te bĂ©nissons, parce que tu as rachetĂ© le monde par ta sainte Croix. â SixiĂšme station VĂ©ronique essuie le Visage de JĂ©sus Mon JĂ©sus, câest Ă grand peine que, tout courbĂ©, tu avances. Mais je vois que tu tâarrĂȘtes et cherches du regard. Mon CĆur, quâest-ce câest ? Que veux tu ? Ah ! câest VĂ©ronique qui, ne craignant rien, sâamĂšne avec courage et essuie ton visage tout couvert de sang. Et toi, en signe dâapprobation, tu laisses imprimĂ©e sur son linge ta sainte Face. Mon gĂ©nĂ©reux JĂ©sus, moi aussi je veux essuyer ta sainte Face. Non pas avec un linge, mais je veux mâoffrir tout moi-mĂȘme pour te soulager, je veux entrer dans ton for intĂ©rieur et te donner, ĂŽ JĂ©sus, battement de cĆur pour battement de cĆur, souffle pour souffle, affection pour affection, dĂ©sir pour dĂ©sir. Jâentends me plonger dans ton Intelligence infiniment sainte et, faisant dĂ©filer dans lâimmensitĂ© de ta VolontĂ© tous ces battements de cĆur, souffles, affections et dĂ©sirs, je veux les multiplier Ă lâinfini. Je veux, ĂŽ mon JĂ©sus, former des vagues de battements de cĆur, afin quâaucun battement mauvais ne se rĂ©percute dans ton CĆur et quâainsi soient adoucies tes amertumes intĂ©rieures. Je veux former des vagues de saintes affections et de saints dĂ©sirs pour Ă©loigner de toi toute affection mauvaise et tout dĂ©sir mauvais qui pourraient attrister ton CĆur. Je veux, ĂŽ mon JĂ©sus, former des vagues de saintes pensĂ©es, pour Ă©loigner de toi toute pensĂ©e qui pourrait te dĂ©plaire. Mon JĂ©sus crucifiĂ©, au nom de toutes les gĂ©nĂ©rations, passĂ©es, prĂ©sentes et futures, ensemble avec ta chĂšre MĂšre et tous les Anges, je me prosterne devant toi et je dis âO Christ, nous tâadorons et nous te bĂ©nissons, parce que tu as rachetĂ© le monde par ta sainte Croix.â SeptiĂšme station JĂ©sus tombe pour la 2Ăšme fois sous la Croix Mon JĂ©sus, Ă©tant tombĂ© de nouveau sous la Croix, tu gĂ©mis. Les soldats craignent que tu meures avant le temps sous le poids de tant de souffrances et par la perte de tant de sang. NĂ©anmoins, câest Ă coups de fouets et Ă coups de pieds quâavec beaucoup de mal ils parviennent Ă te ramener sur tes pieds. Et toi tu rĂ©pares les chutes rĂ©pĂ©tĂ©es dans le pĂ©chĂ©, les fautes graves commises par les diverses classes de personnes, et tu pries pour la conversion des pĂ©cheurs obstinĂ©s. Mon Amour, tandis que je tâaccompagne dans tes rĂ©parations, je vois que tu suffoques sous le poids Ă©norme de la Croix. Tu trembles de partout. Les Ă©pines, Ă cause des chocs incessants que tu reçois, pĂ©nĂštrent de plus en plus dans ta tĂȘte. La lourde Croix sâenfonce de plus en plus dans ton Ă©paule. Elle y fait une plaie si profonde quâelle en dĂ©couvre les os. Ă chacun de tes pas, il semble que tu meures, ce qui te met dans la quasi-impossibilitĂ© dâaller de lâavant. Mais ton Amour, qui peut tout, tâen donne la force. Et alors que la Croix pĂ©nĂštre dans ton Ă©paule, tu rĂ©pares pour les pĂ©chĂ©s cachĂ©s. Mon JĂ©sus, laisse-moi mettre mon Ă©paule sous la Croix pour te soulager, et laisse-moi rĂ©parer avec toi les pĂ©chĂ©s secrets. Mon JĂ©sus crucifiĂ©, au nom de toutes les gĂ©nĂ©rations, passĂ©es, prĂ©sentes et futures, ensemble avec ta chĂšre MĂšre et tous les Anges, je me prosterne devant toi et je dis âO Christ, nous tâadorons et nous te bĂ©nissons, parce que tu as rachetĂ© le monde par ta sainte Croix.â HuitiĂšme station JĂ©sus console les femmes Quelques pas plus loin, tu tâarrĂȘtes encore. MĂȘme sous le poids de tant de peines, ton Amour ne cesse pas dâĂȘtre actif voyant les saintes femmes qui pleurent Ă cause de tes peines, tu tâoublies toi-mĂȘme et les consoles en leur disant Filles, ne pleurez pas sur mes peines, mais sur vos pĂ©chĂ©s et sur vos enfants. » Quel Enseignement sublime tu nous donnes, ĂŽ JĂ©sus ! Comme elle est douce, ta Parole ! Mon JĂ©sus, avec toi je rĂ©pare les manques de charitĂ©, et je te demande la GrĂące de mâoublier moi-mĂȘme, pour que je ne me rappelle que de toi. Mon JĂ©sus crucifiĂ©, au nom de toutes les gĂ©nĂ©rations, passĂ©es, prĂ©sentes et futures, ensemble avec ta chĂšre MĂšre et tous les Anges, je me prosterne devant toi et je dis â O Christ, nous tâadorons et nous te bĂ©nissons, parce que tu as rachetĂ© le monde par ta sainte Croix. â NeuviĂšme station JĂ©sus tombe pour la 3Ăšme fois Tâentendant parler, tes ennemis entrent en fureur. Ils te tirent avec les cordes, te poussent avec tant de rage quâils te font tomber. Et, en tombant, tu heurtes des pierres. Le poids de la Croix tâĂ©crase et tu te sens mourir ! Laisse-moi te soutenir et protĂ©ger de mes mains ton visage infiniment saint. Je vois que tu touches le sol et suffoques dans ton Sang. Voulant te remettre sur pied, tes ennemis te tirent avec les cordes et par les cheveux et te donnent des coups de pied, mais tout cela en vain. Tu meurs, mon JĂ©sus ! Quelle peine ! Mon cĆur se brise de douleur ! Câest presque en te traĂźnant quâils te conduisent au Calvaire. Tandis quâils te traĂźnent, Je sens que tu rĂ©pares toutes les offenses des Ăąmes consacrĂ©es qui te sont dâun grand poids, de sorte que tous tes efforts pour te relever sont inutiles ! Et câest ainsi que, traĂźnĂ© et foulĂ© aux pieds, tu parviens au Calvaire, laissant sur ton passage une trace rouge de ton sang prĂ©cieux. Mon JĂ©sus crucifiĂ©, au nom de toutes les gĂ©nĂ©rations, passĂ©es, prĂ©sentes et futures, ensemble avec ta chĂšre MĂšre et tous les Anges, je me prosterne devant toi et je dis âO Christ, nous tâadorons et nous te bĂ©nissons, parce que tu as rachetĂ© le monde par ta sainte Croix. â DixiĂšme station JĂ©sus est dĂ©pouillĂ© de ses vĂȘtements Mais ici, de nouvelles souffrances tâattendent. De nouveau, les soldats tâarrachent tes vĂȘtements et ta couronne dâĂ©pines. Ah ! tu gĂ©mis en te sentant arracher les Ă©pines de la tĂȘte. Et tandis quâils tâarrachent tes vĂȘtements, ils arrachent aussi les chairs lacĂ©rĂ©es qui y sont collĂ©es. Tes plaies se dĂ©chirent, et câest Ă ruisseaux que ton sang coule. Elle est si grande ta souffrance que, presque mort, tu tâĂ©croules. Mais personne nâa pitiĂ© de toi, ĂŽ mon bien ! Au contraire, dans une fureur bestiale, ils te remettent la couronne dâĂ©pines en la frappant fortement. Ă cause de toutes tes lacĂ©rations et du coup sec quâils donnent Ă tes cheveux amassĂ©s dans le sang coagulĂ©, ta torture est extrĂȘme. Seuls les anges pourraient dire ce que tu souffres, tandis que, horrifiĂ©s, ils dĂ©tournent leurs regards, âles Anges de la Paix pleurentâ Mon JĂ©sus dĂ©pouillĂ©, permets-moi de te serrer sur mon cĆur pour te rĂ©chauffer, car je vois que tu trembles et quâune sueur glacĂ©e de mort envahit ton humanitĂ©. Comme je voudrais te donner ma vie et tout mon sang pour remplacer le tien, que tu as rĂ©pandu pour me donner la vie. Comme sâil me regardait de ses yeux moribonds, JĂ©sus semble me dire Mon enfant, combien me coĂ»tent les Ăąmes ! Câest ici le lieu oĂč je les attends toutes pour les sauver, oĂč je veux rĂ©parer les pĂ©chĂ©s de ceux qui vont jusquâĂ se dĂ©grader au- dessous des bĂȘtes et qui sâobstinent tellement Ă mâoffenser quâils en viennent Ă ne plus pouvoir vivre sans pĂ©cher. Leur raison est devenue aveugle et ils pĂȘchent comme des fous. VoilĂ pourquoi une troisiĂšme fois, on me couronne dâĂ©pines.â Et par mon dĂ©pouillement, je rĂ©pare pour ceux qui revĂȘtent des vĂȘtements indĂ©cents, pour les pĂ©chĂ©s contre la modestie, et pour ceux qui sont tellement liĂ©s aux richesses, aux honneurs et aux plaisirs, quâils sâen font des dieux. Ah ! Oui ! chacune de ces offenses est une mort que je ressens, et si je ne meurs pas, câest parce que la VolontĂ© de mon PĂšre Ăternel le veut ainsi!» Mon Bien dĂ©nudĂ©, tandis quâavec toi je rĂ©pare, je te prie quâau moyen de tes mains infiniment saintes tu me dĂ©pouilles de tout et que tu ne permettes Ă aucune affection mauvaise dâentrer dans mon cĆur. Veille sur lui, entoure-le de tes peines, remplis-le de ton Amour. Que ma vie ne soit rien dâautre que la rĂ©pĂ©tition de la tienne. Confirme par ta bĂ©nĂ©diction mon dĂ©pouillement et donne-moi la force dâassister Ă ta douloureuse crucifixion. Que je sois crucifiĂ©e avec toi ! Mon JĂ©sus crucifiĂ©, au nom de toutes les gĂ©nĂ©rations, passĂ©es, prĂ©sentes et futures, ensemble avec ta chĂšre MĂšre et tous les Anges, je me prosterne devant toi et je dis â O Christ, nous tâadorons et nous te bĂ©nissons, parce que tu as rachetĂ© le monde par ta sainte Croix. â OnziĂšme station JĂ©sus est clouĂ© sur la Croix Entre temps, mon JĂ©sus, tu regardes la Croix que tes ennemis sont en train de te prĂ©parer. Tu entends les coups de marteau par lesquels ils font les trous pour enfoncer les clous qui te tiendront crucifiĂ©. Ton CĆur bat trĂšs fort, tressaillant dâivresse divine. Il dĂ©sire ardemment que tu tâĂ©tendes sur ce lit de douleur, pour sceller de ta mort le salut de nos Ăąmes. Et je tâentends dire De grĂące, ĂŽ Croix, reçois-moi vite dans tes bras. Je suis impatient dâattendre ! Sainte Croix, câest sur toi que je viens tout accomplir. Vite, Croix, rĂ©alise le dĂ©sir ardent qui me consume de donner la vie aux Ăąmes. Ne tarde pas, câest avec anxiĂ©tĂ© que jâattends de mâĂ©tendre sur toi pour ouvrir le Ciel Ă tous mes enfants. » Ă Croix, il est vrai que tu es mon martyre mais, sous peu, tu seras aussi ma victoire et mon triomphe le plus complet. Et câest par toi que je donnerai de copieux hĂ©ritages, victoires, triomphes et couronnes Ă mes enfants. » Mon doux JĂ©sus, Tu tâĂ©tends sur la Croix. Tu regardes avec Amour et Douceur tes bourreaux qui ont Ă la main les clous et les marteaux pour te clouer. Et tu leur fais une douce invitation pour rĂ©clamer ta Crucifixion. Ă mon JĂ©sus, aprĂšs tâavoir clouĂ© les mains et les pieds, les bourreaux retournent la Croix pour river les clous, contraignant ainsi ton adorable Visage Ă toucher le sol. Et toi, tu donnes un Baiser Ă ce sol ensanglantĂ© de ton Sang. Par ce Baiser, tu baises toutes les Ăąmes et les lies Ă ton Amour, scellant leur salut. Mon bon JĂ©sus, je vois que tes ennemis soulĂšvent le lourd bois de la Croix et le laissent tomber dans le trou prĂ©vu Ă cet effet. Et toi, mon doux Amour, tu es suspendu entre Ciel et terre. En ce moment solennel, tu te tournes vers le PĂšre et dâune voix faible tu lui dis PĂšre saint, me voici chargĂ© de tous les pĂ©chĂ©s du monde. Il nây a pas de faute qui nâait Ă©tĂ© versĂ©e sur moi. Par consĂ©quent, ne dĂ©charge plus sur les hommes les flĂ©aux de ta Justice divine, mais fais-le sur moi, ton Fils. Ă PĂšre, permets-moi de lier toutes les Ăąmes Ă cette Croix et, par mon Sang et mes Plaies, dâobtenir le pardon pour toutes. Ă PĂšre, vois Ă quel Ă©tat je suis rĂ©duit ! En raison de cette Croix, en vertu de ces souffrances, induis en tous une vĂ©ritable conversion, la paix, le pardon et la saintetĂ©. Coupe court Ă ta fureur contre la pauvre humanitĂ©, contre mes enfants ; ils sont aveugles et ne savent pas ce quâils font. PitiĂ©, mon PĂšre ! CâĂ©tait moi le plus beau de tous, et maintenant, je suis tout dĂ©figurĂ©. Je suis devenu lâabjection de tous. Ă tout prix, je veux sauver les pauvres crĂ©atures ! » Mon JĂ©sus crucifiĂ©, au nom de toutes les gĂ©nĂ©rations, passĂ©es, prĂ©sentes et futures, ensemble avec ta chĂšre MĂšre et tous les Anges, je me prosterne devant toi et je dis âO Christ, nous tâadorons et nous te bĂ©nissons, parce que tu as rachetĂ© le monde par ta sainte Croix.â DouziĂšme station JĂ©sus meurt sur la Croix Mon JĂ©sus crucifiĂ©, Tu en es Ă tes derniĂšres respirations, ton humanitĂ© infiniment sainte se raidit, ton cĆur ne semble plus battre. Avec Marie Madeleine, jâembrasse tes pieds et je voudrais, si câĂ©tait possible, donner ma vie pour ranimer la tienne. Et je vois, ĂŽ JĂ©sus, que tu ouvres tes yeux moribonds et regardes autour de la Croix comme si tu voulais faire ton dernier adieu Ă tous. Tu regardes ta Maman mourante qui nâa plus de mouvement ni de voix, tant sont grandes ses peines, et tu dis Adieu, Maman, moi je pars, mais je te garderai dans mon CĆur. Prends soin de nos enfants.» Tu regardes Marie Madeleine qui pleure, le fidĂšle Jean et, par tes regards, tu leur dis Adieu ! » Avec amour, tu regardes tes ennemis et, par tes regards, tu leur dis Je vous pardonne, je vous donne le baiser de paix. » Ă ton regard, rien nâĂ©chappe. De tous, tu prends congĂ©. Tu pardonnes Ă tous. Puis tu rassembles toutes tes forces et dâune voix forte tu cries PĂšre, entre tes Mains, je remets mon Esprit ! » Et, baissant la tĂȘte, tu expires. Mon JĂ©sus, Ă ce cri, la nature est toute bouleversĂ©e et pleure ta mort, la mort de son CrĂ©ateur ! La terre tremble et, par son tremblement, elle semble pleurer et vouloir secouer les Ăąmes pour les amener Ă te reconnaĂźtre comme le vrai Dieu. Le voile du Temple se dĂ©chire, des morts ressuscitent, le soleil qui jusquâici a pleurĂ© tes peines, a retirĂ© avec effroi sa lumiĂšre. Ă ce cri, tes ennemis sâagenouillent, se frappent la poitrine et disent Vraiment, celui-ci est le Fils de Dieu ! » Et ta MĂšre, pĂ©trifiĂ©e et mourante, souffre des peines plus dures que la mort. Mon JĂ©sus mort, par ce cri tu nous mets nous aussi entre les mains du PĂšre, pour quâil ne nous rejette pas. Par consĂ©quent, tu cries fort non seulement de ta voix corporelle, mais par toutes tes peines et tout ton sang PĂšre, entre tes mains, je remets mon Esprit et toutes les Ăąmes ! » Ă mon JĂ©sus, avec toi, je mâabandonne aussi entre les mains du PĂšre. Donne-moi la grĂące de mourir complĂštement dans ton Amour, dans ton Vouloir. Je te prie de ne jamais me permettre, ni en cette vie ni Ă ma mort, de quitter ta VolontĂ© infiniment sainte. Et je veux rĂ©parer pour tous ceux qui ne sâabandonnent pas parfaitement Ă ta VolontĂ© infiniment sainte, perdant ainsi ou affaiblissant en eux le prĂ©cieux fruit de ta rĂ©dempt
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